Quand je prends sa photo
Même la pensée, de sa beauté m'attrape quand je l'imagine.
J'appelle son nom hors fort avec mes narines brillées, mais je sens mes tremolos de résonance nasaux par.
Le noir humide et pâlît comme un écho mourant lointain. Je sais qu'il ne le fait pas juste elle, tout j'entends
est un contralto éthéré. Mais le plus je me distancie d'elle, le plus intensément je lui suis dessiné comme si
les dimensions spatiales ont été tendues, sur une fin pendant qu'effilé dans sur un autre, seul, je veux libérer
un coeur de fruste. Dans l'a enraciné profondément la douleur de dépression, entre la suppression de jours et nuit,
je suis fatigué et suis rejeté par son âme…
Comme je marchais dans la rosée de matin, les pensées sont venues à ne
m'étais rien, mais elle, essayé très dur à consoler mon coeur et est efforcé se rendre compte que nous sommes
en effet à part, je ne pourrais pas aider mais juste la pense à. La douceur, la caresse, bien que très peu de,
avec le coeur lourd, je pourrais non plus long demeure pour ouvrir me voir de la vue d'autres de ma vie. Je sais,
suis dans cette pensée me mettrait par l'enfer.
Mais toujours je pense que je dois la voir ce soir, juste examiner
ses yeux pour trouver que présagent allume, attraper en haut sur les jours que nous avons manqués sans chaque autre,
comprendre notre distance, clarifier du malentendu, relâcher les frustrations, et le désespoir. Je veux rire pour elle
plaisante, jusqu'à ce que je ne pourrait pas d'ours plus long, se moquer des erreurs, et me trouver dans la déchirure,
et la dire que je suis heureux pour quoi que je me tiens mais je veux elle permet de sais aussi que sans elle la si
belle âme je me trouve si solitaire. Peut j'être ne pourrait pas attraper le train où elle est été, cependant,
je calme, veut la voir ce soir, évoquer ses souvenirs, les beaux temps que nous avons passés ensemble,
quelques-uns mais frappant si…